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Nous nous efforçons de garantir des processus de consommation et de production durables sur chacun de nos projets, afin de laisser derrière nous un héritage qui répond aux besoins des générations actuelles et futures.
Cela implique de réduire l’empreinte carbone de Kamoa Copper et de travailler à l’amélioration continue de ses pratiques de gestion des déchets afin de fonctionner de manière propre et respectueuse du climat. La société sera l’un des plus faibles émetteurs de gaz à effet de serre par unité de cuivre produite et s’est en outre engagée à devenir le premier émetteur de carbone net zéro parmi les mines principales de cuivre au monde.
Dans le but de fournir le métal cuivre indispensable pour aider l’humanité à relever les défis causés par le changement climatique, Kamoa Copper comprend que la limitation de l’impact environnemental et de l’empreinte carbone de ses opérations minières est essentielle pour atténuer les effets du changement climatique.
Pour soutenir la performance continue de son complexe minier, Kamoa Copper a signé un partenariat public avec la Société Nationale d’Electricité (SNEL) de la RDC afin de garantir une électricité propre et renouvelable produite par l’hydroélectricité. L’obtention d’une électricité durable à long terme est essentielle au développement de Kamoa Copper, qui deviendra l’une des plus grandes mines de cuivre au monde.
La première phase du partenariat avec la SNEL a consisté à moderniser six nouvelles turbines de la centrale hydroélectrique de Mwadingusha, située sur la rivière Lufira, à environ 250 km au nord-est de la mine de Kakula.
La centrale hydroélectrique de Mwadingusha est pleinement opérationnelle et fournit environ 78 MW d’électricité durable et propre au réseau électrique national – suffisamment pour alimenter les deux premières phases de production de Kamoa Copper.
La société sœur de Kamoa Copper, Ivanhoe Mines Energy DRC, a signé un addendum au partenariat avec la SNEL pour moderniser la turbine 5 de la centrale hydroélectrique existante Inga II, le long du fleuve Congo. La turbine 5 est l’une des quatre turbines restantes (8 au total) qui attendent d’être modernisées. Une fois modernisée, la turbine 5 devrait produire 162 MW d’énergie hydroélectrique renouvelable.
Ensemble, ces deux centrales hydroélectriques permettront à Kamoa Copper de disposer de 240 MW d’électricité propre et renouvelable.
Afin d’atténuer davantage les effets du changement climatique et d’aider l’entreprise à respecter son engagement net zéro, Kamoa Copper s’est engagée à intégrer à son parc minier des équipements de pointe alimentés par des batteries électriques ou des piles à hydrogène dès qu’ils seront disponibles sur le marché, en remplacement des équipements fonctionnant au diesel, afin de réduire davantage les émissions de carbone et d’assurer la sécurité de ses employés.
La gestion des résidus implique le stockage et la gestion de la roche finement broyée, des particules minérales fines et de l’eau séparée des minéraux du minerai pendant le processus de broyage dans une installation de stockage des résidus dédiée et bien surveillée. Kamoa Copper a adopté une approche à très faible risque pour la gestion de ses résidus et vise à atteindre ou dépasser les bonnes pratiques mondiales en matière de gestion sûre des résidus.
Kamoa Copper prévoit de réduire au minimum le stockage et la gestion en surface des résidus de ses opérations minières en les stockant sous terre, dans les galeries exploitées. L’empreinte environnementale de Kamoa Copper est relativement faible car environ la moitié des résidus seront mélangés à du ciment et repompés sous terre pour remplir les vides et aider à soutenir l’infrastructure minière souterraine.
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